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Les différents outils pour plateforme de formation en ligne

Les outils e-learning sont utilisés dans un contexte d’apprentissage et on les associe également à d’autres outils technologiques complémentaires indispensables à l’e-formation.
En fonction des différents objectifs et des applications pédagogiques auxquels ils sont destinés, les outils e-learning peuvent être classés en six grandes sortes :
1. Les outils d’information : ces outils principalement synchrones peuvent revêtir différentes formes : foire aux questions, guide en ligne, forum de discussion, glossaires, listes de diffusions, webographie et autres outils d’édition.
2. Les outils de communication : ces outils synchrones (tchat, vidéoconférence…) et asynchrones (e-mail, forum de discussion…) permettent une interaction optimale entre les facilitateurs (enseignants) et les participants (apprenants).
3. Les outils de collaboration à distance : habituellement asynchrones, ces outils permettent de faciliter le travail collaboratif au sein d’un ou de plusieurs groupes d’apprenants : espace de travail partagé, outils d’édition, blog, portfolio, etc.
4. Les outils de dépôt et de partage de documents : essentiellement asynchrones, les outils de dépôt ou de partage de documents permettent de faciliter la mise à disposition de supports indispensables au travail collaboratif entre un ou plusieurs groupes de cyber-apprenants.
5. Les outils de conception de communauté d’apprentissage : l’instauration de communauté d’apprentissage compte parmi l’un des objectifs majeurs de l’e-learning. Pour améliorer la qualité de l’apprentissage, l’efficience de la formation et les performances des apprenants, il est indispensable de prévoir des outils favorisant la construction de cette communauté. Les outils sont notamment de deux sortes ; il y en a ceux qui permettent d’accélérer la phase de brise-glace et ceux favorisant les échanges par la suite.
6. Les outils favorisant la métacognition : La plupart des plateformes e-learning disposent généralement des tableaux de bord et outils de suivi recélant une multitude de données relatives aux statistiques de fréquentation de page et aux résultats de différents tests (temps consacré à chaque exercice, nombre de fois où un exercice est repris, réponses fournies, résultats obtenus, etc.). Les outils e-learning de métacognition permettent d’améliorer l’efficacité de l’apprentissage à distance par la compilation des données, de façon à établir le récit de parcours et d’en faire ressortir les différents éléments attestant l’évolution de ses performances. Certains modes d’évaluation formatifs permettant l’autoévaluation et le test de pré requis exploitent le concept de métacognition en suggérant des éléments de feedback qu’ils soient automatiques, différés, synthétiques, partiels ou complets. L’évaluation de pré requis permet par exemple de personnaliser le parcours de l’apprentissage à travers le déploiement de méthodes pédagogiques et l’adoption de modalités d’accompagnement adéquates.

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La formation à suivre pour devenir coiffeur

Le métier de coiffeur fait rêver plus d’un et c’est un métier qui peut vous faire gagner votre vie. Ce métier n’est pas seulement réservé aux dames, les messieurs peuvent très bien le pratiquer. D’autant plus qu’on trouve de plus en plus d’hommes dans ce domaine. On dit même qu’ils sont plus experts que les femmes. Pour mener à bien ce travail, certaines qualités et formations sont requises et c’est ce que nous allons exposer tout au long de cet article.

Les qualités à avoir

Même si ce métier paraît si facile, il n’est pas adapté à tout le monde. Être coiffeur demande des qualités physiques car dans le métier, vous serez debout pendant des heures et des heures dans le salon de coiffure. Pour faire une coupe aussi, par exemple, vous devez tourner à plusieurs reprises la chaise du client pour un travail parfait. Une hygiène irréprochable et une bonne présentation générale sont les qualités que doit avoir cette personne. Le client ne supporterait pas de voir un coiffeur avec les ongles sales. Aussi pour accueillir les clients, il est impératif que vous soyez présentable, accueillant et souriant. Ce métier demande aussi une capacité relationnelle et une écoute très développée. Le client se sentira beaucoup plus valorisé, si le coiffeur est à l’écoute de ses demandes. Si vous n’avez pas ces qualités, ce métier ne vous convient pas trop et il sera difficile pour vous de l’exercer.

La formation à suivre

Pour pouvoir exercer ce métier, il est impératif que vous passiez un examen dans le but d’avoir un CAP coiffure ou certificat d’aptitude professionnelle. Pour ce certificat en particulier, il nécessite une préparation en 3 ou 4 années selon le centre de formation. Vous pouvez toujours continuer votre formation dans le but d’obtenir une mention complémentaire. Celle-ci vous offre une spécialisation mais vous offre la possibilité de travailler dans tout l’ensemble du domaine. Pour pouvoir ouvrir un salon, vous devez poursuivre votre formation pour avoir un Brevet Professionnel. Ce dernier est un des dossiers nécessaires à l’ouverture du salon à votre nom. Si vous optez pour une formation dans la gestion, la comptabilité et le management du personnel, la chambre de commerce et de l’industrie peut vous octroyer un brevet de maîtrise, ce qui vous permettra d’exercer à votre plein gré. Pour le CAP en particulier, le candidat doit passer plusieurs épreuves dont la coupe de cheveux, le coiffage, la coloration mais d’autres évaluations en communication l’attendent également.

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Les métiers de la bouche et de l’hébergement

Dans plusieurs États et en France particulièrement, ces métiers n’ont pas été tellement affectés par la crise. Les grands établissements n’ont pas licencié leurs employés et passent même à des recrutements. Ce domaine peut être intéressant et vous permettra de retrouver plus facilement un emploi dans le cas où vous avez les qualifications et le diplôme requis.

Trouver un emploi plus facilement

À la fin de la formation, certains apprentis passent les années avant de retrouver un emploi. Dans le domaine de la restauration et de l’hôtellerie, les débouchés ont plus été beaucoup plus nombreux. Vous pouvez débuter petits avant d’atteindre les plus grands poste. Dans ce domaine, les personnes de renommée ont débuté en étant commis de cuisines, serveurs, chefs de partie et chefs de rang. Ces métiers sont les plus recherchés et vous n’aurez pas du mal à intégrer l’établissement au cours dans lequel vous pouvez avoir une évolution de carrière. Avec un peu des chances aussi, vous pouvez directement sur des grands métiers comme chef, chef pâtissier ou maître d’hôtel. Ces métiers non plus ne sont pas aussi très difficiles à trouver mais demandent beaucoup plus d’expérience. Dans les différents moyens de communication, le barman et le garçon de café sont aussi des métiers très recherchés. Vous pouvez également intégrer une équipe de service traiteur. Pour ce faire, il est conseillé d’entrer en contact avec l’entité et tenter votre chance pour avoir un poste. Si tel est le cas des métiers de la bouche, ceux de l’hébergement ne sont pas des moindres. Dans un grand établissement, renseignez-vous au cas où le poste de réceptionniste, d’employé d’étage serait libre. Pour la recherche de ces emplois, vous pouvez même tenter à l’international.

Les différents diplômes en restauration et hébergement.

À la fin de chaque cursus ou de formation, exigez de votre centre de formation un diplôme, un certificat ou un brevet qui justifie votre formation. Beaucoup de personnes choisissent de suivre une formation en vue de l’obtention du CAP pour une insertion rapide dans le domaine et afin de trouver facilement de l’emploi. Vous avez plusieurs options pour ce certificat et il faut le choisir en fonction du domaine que vous voulez intégrer. Le CAP en hôtellerie et restauration se décline en plusieurs branches CAP agent polyvalent de restauration, CAP service en café et brasseries, CAP restaurants, CAP services hôteliers, CAP cuisine et CAP employé technique de collectivités. Si vous avez choisi de s’orienter vers ce domaine après le bac, au bout de deux ans de formation, vous obtiendrez le BTS. Ce cursus offre la possibilité de poursuivre jusqu’à bac + 5 pour avoir le master.

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Ce qu’il faut savoir sur le TOEFL

Le Test Of English as a Foreign Language (TOEFL) évalue les compétences linguistiques académiques du candidat étranger désireux de poursuivre ou d’entamer son cursus universitaire dans des pays anglophones. Les capacités linguistiques du candidat sont ainsi mises à l’épreuve tant au niveau de la compréhension écrite et orale qu’au niveau de l’expression écrite et orale. Cet examen de 4 heures est noté de 0 à 120 points pour sa version en ligne (IBT). Le barème peut varier de 310 à 677 points pour la version papier (PBT).

La phase de la compréhension écrite

Un extrait de texte tiré de manuel scolaire vous est présenté entre trois et cinq textes d’une longueur de 700 mots environ. Pour la compréhension de ces textes, il vous faudra répondre à une bonne dizaine de questions sous forme de QCM. L’essentiel ici ne consiste pas à comprendre chaque mot du texte, mais à savoir en tirer les informations utiles. Pour gagner du temps dans cette épreuve de 60 à 90 minutes, il n’est pas à priori nécessaire de vous plonger dans la lecture du texte. Commencez plutôt par les questions (une à la fois) et cherchez le passage de texte correspondant. Les questions suivent généralement la progression logique du texte et vous aident à sa compréhension.

La phase d’audition

Ce test de 60 à 90 minutes va mettre vos capacités de compréhension orale à rude épreuve. La méthode la plus efficace consiste à prendre des notes, car vous ne pourrez pas entendre les extraits audio plus d’une seule fois, sauf pour certaines parties. Elles sont ré auditionnés lorsqu’on vous posera des questions. Là encore, inutile de noter tout ce que vous entendez. Identifiez les idées clés et prenez-les en note, mémorisez le tout. Du moment où vous n’en perdez pas le fil, c’est l’essentiel.

La phase d’expression orale

Cette épreuve comporte plusieurs minitâches. La première vous invitera à exprimer votre opinion sur un sujet familier. Il importe alors de savoir parler de vous et de vos préférences pour gagner plus de points. Dans la seconde minitâche, l’on vous conduit à choisir entre deux alternatives. Au lieu de trancher, énumérez simplement de façon verbale les principaux avantages et inconvénients des deux options. Dans la troisième tâche, vous serez amené(e) à lire un bref article sur un problème de campus et à auditionner deux élèves discuter autour. A vous ensuite d’en faire le résumé. Dans la quatrième tâche, vous allez devoir résumer deux sources et expliquer en quoi elles sont complémentaires. Pour la cinquième et sixième minitâche, vous devez auditionner des extraits audio et répondre aux questions y afférentes.

La phase rédactionnelle

Cette épreuve de 50 minutes comprend deux parties en tout. On vous fait lire un court texte d’environ 250 mots et on vous fera ensuite auditionner un extrait audio qui ne dure pas plus de 2 minutes. L’on vous demandera ensuite d’expliquer en quoi les deux thèses diffèrent. Dans la seconde partie, on vous demandera de rédiger un court texte de dissertation pour débattre sur une thématique donnée. Privilégiez les phrases simples, structurées et cohérentes avec des idées bien articulées à l’aide des connecteurs logiques.